Une seule greffe capillaire suffit-elle ?
De nombreux patients espèrent qu’une seule greffe capillaire règle définitivement leur calvitie. La réalité est plus nuancée : selon le stade de l’alopécie et l’évolution de la chute, plusieurs interventions peuvent être nécessaires.
Cela dépend du stade de la calvitie
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Calvitie débutante (Norwood II–III) : une seule greffe peut suffire à redessiner la ligne frontale et à redonner de la densité.
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Calvitie avancée (Norwood V–VII) : une greffe unique ne permet pas toujours de couvrir toutes les zones dégarnies. Plusieurs interventions espacées peuvent être envisagées.
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L’évolution de la chute continue
La greffe n’arrête pas l’alopécie androgénétique. Les cheveux natifs, non greffés, continuent d’être sensibles à la DHT et risquent de tomber avec le temps.
C’est pourquoi un traitement global reste indispensable :
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soins topiques (anti-DHT, activateurs de repousse),
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compléments alimentaires,
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hygiène de vie adaptée.
La zone donneuse : une limite naturelle
Le nombre de greffons est limité par la densité de la nuque. Même les meilleures cliniques ne peuvent pas créer plus de follicules qu’il n’en existe.
C’est un facteur clé pour savoir si une seule greffe peut suffire ou non.
En résumé
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Une seule greffe peut suffire aux calvities débutantes.
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Dans les stades avancés, plusieurs interventions sont souvent nécessaires.
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Un protocole de soins anti-chute est essentiel pour préserver les cheveux natifs et maintenir le résultat.
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